lundi 12 mars 2018

Rencontre avec Les Motards du Polar

Nous avions conviés Samedi 10 Mars à midi , 
dans notre belle ville d'Auch à une rencontre dans le cadre de leur Salon Polar'Encontre du dimanche de Bon-Encontre (47) 
Notre partenaire "L'Arbre à Pains" nous a accueillis avec plaisir et une grande convivialité, mais après un frugal repas , il a fallut se quitter, nous étions attendus à la Manif Anti-80.
Nous leurs avions concoctés un itinéraire de retour à travers notre belle région par le chemin des écoliers pour leur retour sur Agen .

Quelques photos de la rencontre













Les Molars :
En 2015, lors du Salon de polars de Toulouse, les romanciers, Victor del Arbol, Gildas Girodeau et Benoît Séverac décident de créer une association des auteurs de romans policiers possédant le permis moto.
En 2017, les Molars comportent une vingtaine de membres ainsi que des Sympathisants Molars, les SM, et, pour la première fois, décident de se rassembler avec leurs bécanes à l'occasion d'un salon littéraire à Montalba (Pyrénées-Orientales), le 1er juillet. Le lendemain, ils roulent pendant 3 heures entre France et Espagne, dans les lacets pyrénéens.
A la suite de ce festival et de ce raid, il est décidé que peut devenir Molar, sur cooptation, tout être humain roulant sur une moto d'au moins 200 CC ET ayant publié un polar à compte d'éditeur OU un libraire ayant un rayon polar OU un organisateur de festival de polars OU un essayiste sur le polar OU un dessinateur de BD ayant un lien avec l'esprit polar OU un photographe lié au monde du polar.
Si une seule des deux conditions nécessaires et suffisantes est remplie, l'être humain aura droit au statut tout aussi enviable de Sympathisant Molar (SM).

Les Molars (22 au 12/10/2017) et les SM ont pour vocation de se réunir régulièrement dans des festivals dédiés au polar, de rouler ensemble et d'alimenter la bibliographie, la filmographie et la discographie de la moto dans le polar.
Il faut, pour devenir membre, être un professionnel du polar (nous avons des auteurs à compte d’éditeur, bien sûr, mais aussi un illustrateur, des libraires, un organisateur de salon, un photographe spécialisé dans le portrait d’auteurs, un metteur en scène de pièces policières etc.), être coopté par deux Molars, et posséder une moto d’au moins 250 cc.
Le concept a suscité un grand intérêt et attiré un public nombreux de motards et/ou de lecteurs, agréablement surpris de découvrir qu’on peut faire de la moto et parler de littérature, de philosophie, d’écriture... Il n’y a qu’à lire Traité du Zen et de l’entretien des motocyclettes de Pirsig pour comprendre qu’un motard ne correspond pas toujours à l’image que l’on s’en fait, et que la moto peut apporter quelque chose à ce genre que nous affectionnons tous


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